TRAVAIL | ||
Le travail distribué aux soeurs permet à la communauté de vivre ; il manifeste notre solidarité avec le monde qui nous entoure. |
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Nous serons vraiment moniales si nous vivons du travail de nos mains, comme nos Pères et les apôtres, afin qu'en toutes choses Dieu soit glorifié. (RB 48 et 57) |
Le travail de la chocolaterie et le magasin de produits monastiques constituent les principales ressources de notre monastère. |
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La vie commune se construit dans le quotidien ; c'est un des lieux privilégiés de la rencontre du Dieu vivant. |
LITURGIE | ||
Dieu nous rejoint dans toutes nos activités mais saint Benoît nous dit que rien ne doit être préféré à la prière.
A l'heure de l'office divin, dès qu'on aura entendu le signal, on laissera tout ce qu'on avait en main et l'on accourra en se hâtant.
Sept fois le jour, la prière liturgique nous réunit pour louer et rencontrer Dieu. |
L'eucharistie est la source et le sommet de toute vie chrétiennne et de la communion des soeurs dans le Christ. (Constitution 18) Elle nourrit chaque jour la vie nouvelle reçue au baptême et fortifiée par la confirmation. (Ratio 9)
Ainsi notre prière rejoint l'Eglise toute entière et chacun des hommes, nos frères . |
La Vierge Marie tient une place spéciale dans notre vie, elle est invoquée à chacune des heures de l'office. |
SUR LA LECTIO DIVINA | ||
Comme son nom l'indique, la lectio divina est une lecture dans laquelle Dieu a quelque chose à voir, ou plus exactement à faire, mais non pas sans nous. En effet Dieu est à l'origine, au coeur et au terme de notre lectio. |
1. Dieu est à l'origine de notre lectio Pour commencer, mettons-nous à l'écoute du prophète Amos : "Voici venir des jours, -oracle du Seigneur mon Dieu - où je répandrai la famine dans le pays, non pas la faim du pain ni la soif de l'eau, mais celle d'entendre la parole du Seigneur. On ira, titubant d'une mer à l'autre, errant du nord à l'est, pour chercher la parole du Seigneur, et on ne la trouvera pas" (Am 8,11-12) . Si jour après jour nous cherchons aussi assidûment la parole du Seigneur, c'est parce que le Seigneur, d'abord, a répandu sur la terre désolée de notre coeur la faim et la soif de l'entendre. Ou encore, pour reprendre les mots de saint Paul, c'est parce que Dieu a envoyé dans nos coeurs l'Esprit de son Fils qui crie vers Lui (Ga 4,5). Dès lors, chercher la parole du Seigneur revient à répondre à cet appel confusément ou ardemment perçu au plus secret de notre être. Lire la bible c'est trouver la parole de vérité grâce à laquelle vont prendre forme et visage les gémissements inexprimables de l'Esprit qui habite en nous (Rm 8,11.22-26). Ainsi Dieu, dans sa parole, prend notre langage d'homme pour que nous puissions comprendre son appel et lui répondre. Il nous attire vers elle pour se révéler à nous. De là découle l'importance de l'écoute, d'une écoute profonde, ainsi que nous y invite Saint Benoît au début du prologue de sa Règle : "Ecoute, mon fils, les instructions du maître et prête l'oreille de ton coeur" (RB Prol.1). Pour entendre ce que l'Esprit dit aux églises -autre formule de saint Benoît empruntée à l'Apocalypse (RB Prol.11 et Ap 2,7) -, il faut écouter là où l'Esprit habite et appelle : dans nos coeurs (Ga 4,5 et Rm 8,11.22-27); ou plutôt il faut laisser la parole descendre et résonner à cette profondeur où le Seigneur nous attend. Il nous le dit lui-même par la bouche du prophète Osée : "C'est moi qui vais la séduire, je la conduirai au désert et je parlerai à son coeur" (Os 2,16). Car la parole du Seigneur est une parole d'amour adressée au coeur de chaque homme ; c'est pourquoi il est nécessaire d'aller au désert pour la percevoir, c'est-à-dire de faire taire tout ce qui ordinairement nous assourdit, les bruits du dehors mais aussi les pensées intérieures, pour être seulement attentif à la voix de Celui qui nous parle. Comme lorsque nous voulons prier, nous devons suivre le conseil de Saint Matthieu : "Entrer dans notre chambre la plus retirée, verrouiller notre porte et nous tourner vers Celui qui voit dans le secret" (Mt 6,6), laissant dehors "les soucis du monde, la séduction des richesses et les autres convoitises qui risquent d'étouffer la Parole et de l'empêcher de porter du fruit" (Mc 4,19) dans nos vies. En effet, le trait essentiel, caractéristique de la parole de Dieu est d'être efficace, mieux encore salutaire, et cela parce qu'elle est vérité. "Moi le Seigneur je parle et j'accomplis" lisons-nous à la fin du chapitre 36 du livre d'Ezéchiel. Et Dieu se révèle à nous comme celui qui parle et accomplit afin que nous devenions ceux qui non seulement écoutent mais encore mettent en pratique (Dt 4,1 ; 6,3 ; RB Prol.1). Il nous attire vers sa parole pour que finalement nous la laissions prendre chair en nous. Aussi le modèle par excellence de notre lectio, c'est-à-dire de notre écoute et de notre réponse, va-t-il être Marie, la servante du Seigneur en qui le Verbe a pris vie, s'est incarné pour notre salut (Lc 1,38.41). A son exemple nous garderons la parole et nous la méditerons dans notre coeur, car comme le dit déjà le Deutéronome : "Il ne s'agit pas d'une parole sans importance pour nous ; cette parole c'est notre vie" (Dt 32,47). *** 2. Dieu est au coeur de notre lectio Dès les premiers mots de la Bible nous voyons à l'oeuvre le souffle et la parole de Dieu (Gn 1,2-3) ; "par sa parole, le Seigneur a fait les cieux, et toute leur armée par le souffle de sa bouche", chantons-nous en écho au Psaume 33. Plusieurs fois dans son célèbre ouvrage "Contre les hérésies", Saint Irénée évoque ces deux mains de Dieu qui ont modelé l'homme, c'est-à-dire le Fils et l'Esprit, ou encore le Verbe et la Sagesse (Ad.Her. IV, Pr.4 ; IV 7,4 ; V 1,3 ; V 6,1 ; V 28,4). Tout cela nous montre combien la parole de Dieu est inspirée, son Verbe est rempli d'Esprit Saint sans mesure (Jn 3,34). Quand, à l'exemple d'Ezéchiel ou de Jean, nous prenons cette parole et la mangeons (Ez 3,1-30 ; Ap 10,8-10), Dieu, comme aux premiers jours de la Genèse, nous façonne, il nous transforme à l'image de son Fils et nous insuffle son Esprit de vie (Gn 1,26 et 2,7). D'une part, en effet, la Parole de Dieu nous renvoie sans cesse au Christ. Toutes les Ecritures le concernent comme il le fera comprendre aux deux disciples d'Emmaüs (Lc 24,27.44). Il donne leur achèvement, leur plénitude de sens aux promesses faites aux patriarches, aux annonces des prophètes, à l'espérance des psalmistes : partout se découvre peu à peu son visage de Sauveur. Présence active et vivifiante qui, de page en page, vient à notre rencontre et nous appelle. Car s'il ouvre notre intelligence et fait brûler notre coeur (Lc 24,32), c'est pour que désormais et de plus en plus nous nous attachions à Lui sans retour. Saint Athanase, évêque d'Alexandrie au IVè siècle, raconte comment saint Antoine le Grand, qu'on appellera un jour le père des moines, "entra dans une église. Il advint qu'on lut l'évangile et il entendit le Seigneur disant au riche : si tu veux être parfait, va, vends tut ce que tu as et donne-le aux pauvres, et viens, suis-moi, tu auras un trésor dans le ciel. Antoine ayant reçu de Dieu le souvenir des saints, comme si la lecture avait été faite pour lui, sortit aussitôt de l'église. Les biens qu'il avait de ses parents... il en fit cadeau aux gens du village pour n'en être pas embarrassé... Il vendit tous ses meubles et distribua aux pauvres tout l'argent qu'il en reçu ..." (Vita § 2). Ce fut pour lui l'aurore d'une vie nouvelle, toute ordonnée à l'amour du Seigneur qui, peu à peu, le conformait à lui. Force de la parole qui nous conduit à ne plus rien préférer au Christ (RB 72,11). Entendue en Eglise ou méditée dans le secret de notre chambre, elle nous invite à renoncer à nous-mêmes et à le suivre (Mt 16,24). Cela, chaque jour, ainsi que Saint Benoît nous le rappelle : "Ecoutons d'une oreille attentive la voix puissante de Dieu qui chaque jour nous presse en disant : aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre coeur" (Prol. 9 et 10). Car le temps de la rencontre est toujours au présent. Consentir à cette parole c'est recevoir le pouvoir de devenir dès maintenant enfant de Dieu (Jn 1,12). Par elle nous apprenons que "vivre, c'est Christ et mourir à nous-mêmes est un gain" (Phil 1, 21). Ainsi donc, Dieu est au coeur de notre lectio en tant que celle-ci nous ouvre à la présence agissante du Christ en nous et autour de nous. D'autre part, la parole de Dieu est aussi et en même temps, expérience de l'Esprit. L'apôtre Jean souligne à plusieurs reprises le lien entre demeurer en Dieu, garder sa parole et recevoir le don de l'Esprit. Par exemple dans sa première épître (1Jn 3,24) : "Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu et Dieu en lui. Par là nous reconnaissons qu'il demeure en nous, grâce à l'Esprit dont il nous a fait don" (cf. Jn 14, 23-26 et 1Jn 4, 13). Quand la parole bouleverse notre coeur et nous donne la force de la conversion (Ac 2,37-38), c'est-à-dire de sortir de nous mêmes vers l'Autre et les autres ; quand nous laissons Dieu entrer et bousculer notre vie, c'est l'Esprit qui est à l'oeuvre pour nous recréer dans le Christ, pour nous faire renaître d'en-haut, quand bien même nous serions déjà vieux, comme Nicodème (Jn 3,4.7-8), et il n'est pas pire vieillissement que le péché (Rm 6,6). Car l'Esprit est communion (2 Co 13,13). Il nous introduit dans la communion du Fils avec le Père, il bâtit l'unité du corps du Christ qui est l'Eglise (cf. 1 Co 12,13 ; Ep 4,4 ; Col 1,18). Le signe que notre lectio a vraiment rencontré le Christ dans l'Esprit est notre adhésion, notre participation renouvelée à la vie de l'Eglise. Autrement dit : ceux que Dieu a engendré par la Parole de vérité (Jc 1,18 ; 1 Pi 1,23-25), L'Esprit en fait des membres vivants du corps du Christ. La dimension trinitaire de la lectio se déploie et s'approfondit en communion ecclésiale. Dans cette optique, ceux et celles qui nous ont précédés sur ce chemin deviennent pour nous des témoins et des amis qui nous aident à y progresser à notre tour. C'est pourquoi, après la Bible, les écrits des Pères et des saints de tous les temps constituent un trésor inépuisable où chacun peut reconnaître sous des formes multiples et variées, l'unique Esprit de Dieu transfigurant l'homme à l'image du Fils bien-aimé (2 Co 3,14-18), si du moins il y consent. *** 3. Dieu est au terme de notre lectio Amos parlait de chercher la parole du Seigneur, mais ajoutait-il : "on ne la trouvera pas" (Am 8,11-12). La suite de la prophétie éclaire la cause d'un tel échec : le péché, les infidélités du peuple (Am 8,14). En effet comment chercher la parole de celui dont on s'écarte par toute sa conduite, comment entendre quelqu'un dont on s'éloigne ? Saint Augustin le dit d'une façon admirable au livre II des Confessions : "O ma joie lente à venir ! Tu te taisais alors, et moi je m'en allais loin, loin de toi" (Conf. II,II,2). Si Dieu nous parle, c'est pour nous rencontrer et cela n'est possible que si nous nous tournons vers lui et lui ouvrons la porte de notre coeur, car il ne la forcera jamais."Voici je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je prendrai la cène avec lui et lui avec moi" (Ap 3,20). Cette parole du Christ ressuscité dans l'Apocalypse est précédée d'une invitation pressante : "Moi tous ceux que j'aime, je les reprends et les corrige. Sois donc fervent et repens-toi" (Ap 3,19), c'est-à-dire : "Détourne-toi de tes péchés" (Ez 18,27) et "reviens à moi, car je t'ai racheté" (Is 44,22). Ainsi Dieu nous aime et s'il nous attire vers sa parole (1er point), s'il nous y découvre le Christ dans l'Esprit (2è point), c'est au bout du compte pour nous unir à lui en un seul esprit (1 Co 6,17). La lectio est ordonnée à cette union. Dans sa parole il nous offre ce qu'il faut non seulement pour le chercher mais encore pour le trouver. "Dès que je trouvais tes paroles, je les dévorais. Ta parole m'a réjoui, m'a rendu profondément heureux" (Jr 15,16). Et Jérémie nous donne ensuite la clé d'un tel bonheur : "Ton nom a été proclamé sur moi", c'est-à-dire, comme l'explique une note de la TOB, (cf renvoi à 7, 10), ta présence en moi s'est révélée. La parole est un instrument puissant pour nous ouvrir à la grâce. Le prophète Osée le savait déjà : "Prenez avec vous des paroles et revenez au Seigneur" (Os 14,3). Plus près de nous dans le temps, sainte Thérèse d'Avila raconte dans le livre de sa vie qu'elle avait l'habitude de se servir d'un livre comme d'une amorce pour soulever son âme (Vida 4) "Souvent même, je n'avais qu'à ouvrir mon livre et c'était assez. Quelque fois je lisais un peu, d'autres fois beaucoup, selon la grâce que le Seigneur daignait m'accorder". En effet ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité, c'est-à-dire les dispositions du coeur, l'intensité du désir, la profondeur de l'écoute, la vérité de la vie, etc..... "Dis seulement une parole et je serai guéri" (Mt 8,8). Il suffit souvent d'un seul mot pour atteindre l'intime de notre être, mot par lequel le Seigneur nous touche et nous renouvelle. Sans cesse rappelé il nourrira notre journée et transformera notre vie : "Parle et dis-moi : je suis ton salut" (Ps 34,3). C'est alors que la lectio, après s'être faite supplication, quête, s'épanouit en louange, en action de grâces. Quand la parole s'est faite chair en Marie, bientôt a jailli le Magnificat. A cet égard la prière des psaumes est un lieu privilégié où nous apprenons à passer sans cesse de la lectio à la prière. Dans les psaumes la parole nous est donnée pour chercher Dieu en l'implorant et le trouver dans l'exultation. La parole reçue de Dieu devient notre parole pour nous adresser à lui. "Ton meilleur serviteur, remarque St Augustin au Livre X des Confessions, c'est celui qui est plus attentif non pas à entendre de toi ce qu'il veut lui-même, mais plutôt à vouloir ce qu'il entend de toi" (Conf. X,XVI,37). La lectio nous éduque à cela, à unir notre volonté à celle de Dieu, ce qui, selon Saint Bernard, est la définition de l'amour (SC 71, 6). *** En résumé Dieu est à l'origine de notre lectio : en nous attirant vers sa parole, il fait naître en nos coeurs l'espérance. Dieu est au coeur de notre lectio : en nous révélant le Christ dans l'Esprit, il fait grandir nos vies dans la foi.Dieu est au terme de notre lectio : en nous unissant à lui par l'accord de notre volonté à la sienne, il achève notre être dans l'amour. Le dernier mot revient encore à Saint Augustin qui entendit un jour chanter d'une maison voisine : "Prends, lis ! Prends, lis!" (Conf. VIII,XII,29). Et il commente : " Tu as appelé, tu as crié et tu as brisé ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi et tu as dissipé ma cécité ; tu as embaumé, j'ai respiré et haletant j'aspire à toi ; j'ai goûté, et j'ai faim et j'ai soif ; tu m'as touché et je me suis enflammé pour ta paix. Quand j'aurai adhéré à toi de tout moi-même, nulle part il n'y aura pour moi douleur et labeur, et vivante sera ma vie toute pleine de toi" (Conf.X,XXVI,38 - XXVII,39). S. Christine APTEL (Article paru dans la revue "Cedrus Libani", n°79, nov. 2009 - janv. 2010) |
LECTIO DIVINA | ||
Scrutez les Ecritures, vous ne vous trompez pas, en effet, en pensant avoir la vie en elles, vous qui n'y cherchez rien d'autre que le Christ. Guerric d'Igny |
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Nous nous appliquons à chercher Dieu à travers la lecture méditée de sa Parole ou de tout autre livre nous rapprochant de lui. La lectio divina nous éveille dans la foi à la réalité de la présence de Dieu en nous et autour de nous . Il s'agit d'une lecture lente, approfondie, gratuite, à l'écoute de l'Esprit Saint (Ratio 8) . |
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Document sur la lectio divina (lire) |
EVENEMENTS COMMUNAUTAIRES | CHRONIQUE 2023 (lire) | ||||||||
Samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024 : Pour les journées européennes du patrimoine nous proposons cette année un parcours ludique à travers le parc de l'Abbaye. Les visiteurs peuvent découvrir les restes d'une chapelle des 12ème-13ème siècles, l'étang creusé par les moines, le miroir auprès duquel Huysmans s'est converti, ainsi que d'autres éléments des réseaux d'eau. |
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Vendredi 20 septembre 2021. Après une réunion à l'Abbaye de La Coudre (Mayenne), Soeur Marie-Gabrielle, moniale de l'Abbaye de Bonneval, fait une brève escale au Val d'Igny. Elle nous partage quelques nouvelles de sa communauté aveyronnaise, dont la récente bénédiction de leur nouvelle abbesse et la rénovation de leur hôtellerie. |
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Jeudi 15 août 2024 Au petit matin de la fête de l'Assomption, décès de notre soeur Agnès (Marguerite-Marie NOEL). Née le 20 mars 1940, elle était Fille du Saint Esprit avant d'entrer à l'Abbaye ND de Belval le 1er août 1982. Elle y avait profession solennelle le 14 septembre 1986. |
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Lundi 12 aout 2024 Père Joseph-Marie donne le sacrement des malades à nos soeurs anciennes qui ont désiré le recevoir. |
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Jeudi 8 août 2024 Nous avons la joie de retrouver Père Blaise, notre précédent aumônier, retourné au Burkina Fasso il y a un an. Il passe ses trois semaines de vacances en France et a voulu commencer par revoir le Val d'Igny. Il est actuellement curé de paroisse dans une zone exposée au terrorisme. |
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Mardi 6 août 2024 Fête de la Transfiguration du Seigneur. Après deux ans de noviciat, soeur Marie-Bakhita prononce ses premiers voeux. En présence de Mère Isabelle et de toute lacommunauté rassemblée au chapitre, elle s'engage pour trois ans en promettant, selon la Règle de Saint Benoît, stabilitié, conversion de vie et obéissance. L'eucharistie qui suit est présidée par Père Raphaël, moine de Cîteaux et secrétaire de l'abbé général, qui est arrivé la veille accompagné de Père Julius, moine de Rawaseneng (Indonésie). |
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Jeudi 11 juillet 2024 Fin du chantier de rénovation de la couverture du passage couvert. Les panneaux photovoltaïques sont maintenant posés. Il ne manque plus ... que du soleil ! En attendant les nouvelles gouttières fonctionnent. |
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Du dimanche 30 juin au dimanche 7 juillet 2024 La retraite annuelle de la communauté est animée par P. Bernard Pitaud, prêtre de la Compagnie de Saint Sulpice. Il nous entraîne dans une méditation de textes de Madeleine Delbrêl sur la vocation, le silence, la liturgie, la vie fraternelle, etc. |
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Samedi 29 juin 2024 Le Père Joseph Marie Drego, prêtre du diocèse de Lokossa au Bénin, se présente à la communauté. Proche de nos frères cisterciens de Kokoubou, il assure le service d'aumônier au Val d'Igny pour ces mois d'été. |
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Vendredi 28 juin 2024 La première partie du chantier de rénovation de la toiture du passage couvert est bien avancée avec la pose terminée de tôles en bac acier. Reste à installer de nouvelles gouttières et descentes d'eau. La pose des panneaux photovoltaïques par une autre entreprise ne devrait plus tarder. |
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Du jeudi 20 au lundi 24 juin 2024 Yves Dagregorio, psychothérapeute à Lyon, anime une session sur le transfert. Conférences sur le sujet et rencontres personnelles pour celles qui le désirent alternent durant ces quelques jours. |
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A partir du lundi 10 juin 2024 Début de la dépose de la couverture (ardoises très abîmées) de l’auvent qui abrite le passage vers les communs, dans le prolongement de la façade sud du monastère. La réfection du toit sera suivie de la pose de panneaux photovoltaïques en vue d'économies d'électricité ! |
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Dimanche 9 juin 2024 Laurent Vermot-Desroches, assisté à la technique par son épouse Bénédicte, vient nous présenter, photos et objets d'époque à l'appui, la place de l'Abbaye d'Igny pendant la guerre de 14/18. Les allemands ont établi dans nos murs un hôpital de campagne pour réservistes (R.FELD.LAZ.56), avant de dynamiter le site lors de leur retrait. Les américains ont ensuite occupé les lieux. |
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Samedi 8 juin 2024 Nous retrouvons avec plaisir les classes de chant, de violon et de violoncelle de l'Ecole Municipale de Musique de Fismes pour une audition de qualité. Nous apprécions en particulier "Belle qui tiens ma vie" de Thoinot Arbeau, pièce qui sera bissée en finale. |
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Mardi 28 mai 2024 Une équipe de cordistes cure gouttières et descentes bouchées par les pigeons. Le bon fonctionnement du système d'écoulement des eaux s'avère de première importance en cette période particulièrement arrosée ! |
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Samedi 4 mai 2024 De retour d'une session internoviciat à l'Abbaye de Scourmont (Belgique), Frère Bertrand et Frère Matthieu font escale au Val d'Igny avant de regagner leur Abbaye de Cîteaux. Avec Soeur Marie-Bakhita, notre novice, ils nous donnent quelques échos de l'enseignement reçu. |
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Vendredi 26 avril 2024 Décès de notre Soeur Marie-Noël (Thérèse Marie Hélène BOUCHARD). Née le 10 novembre 1923, entrée à l’Abbaye d’Igny le 25 mars 1953, elle avait fait profession le 12 avril 1955. Messe de sépulture le lundi 29 avril 2024 à 14 H |
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Lundi 8 avril 2024 En la solennité de l'Annonciation du Seigneur, notre soeur Nicole (à droite) fête son jubilé d'or monastique. D'abord religieuse chez les Soeurs de la Doctrine Chrétienne de Nancy, elle est ensuite entrée à l'Abbaye de la Grâce Dieu (Doubs) dont elle est devenue abbesse, avant de se joindre au Val d'Igny avec sa communauté. |
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Dimanche 7 avril 2024 Après l'Assemblée générale des Amis de l'Abbaye du Val d'Igny, un public nombreux se retrouve dans notre église pour un concert très apprécié donné par la Chorale La Veslardanne. |
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Dimanche 7 avril 2024 Décès de notre Soeur Martine VUILLE, née le 7 juillet 1930. Entrée à La Grâce-Dieu le 17 juin 1959, elle y avait fait profession monastique le 6 janvier 1962. Messe de sépulture mercredi 10 avril 2024 à 11 h |
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Mardi 5 mars 2024 Venues de l'Abbaye de Blauvac (Vaucluse) jusqu'au Val d'Igny pour une réunion, Mère Anne-Emmanuelle et Soeur Marie-Samuel nous donnent quelques nouvelles de leur communauté. |
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Dimanche 18 février 2024 Les enfants de Thien et Marie N'Guyen, amis de longue date du Val d'Igny, nous offrent une après midi musicale très appréciée. Belle conclusion à la fête (anticipée) de M. Isabelle ! |
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Dimanche 4 février 2024 Ce dimanche est marqué par la présence de notre archevêque, Mgr Eric de Moulins Beaufort. Il rencontre la communauté avant de célébrer l'eucharistie puis de partager notre repas. |
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Du lundi 22 au mercredi 24 janvier 2024, nous sommes en session biblique avec Soeur Théophane, moniale bénédictine de l'Abbaye ND de Jouarre. Elle nous fait goûter la richesse des récits du Nouveau Testament scrutés à travers le prisme de l'analyse narrative. |
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Du jeudi 18 au samedi 20 janvier 2024 Première visite fraternelle de Dom Marie-Bruno, en tant que notre nouveau Père Immédiat. Dom Marie-Bruno a succédé à Dom Godefroy, tragiquement décédé l'an passé, comme supérieur de l'Abbaye ND d'Acey. |
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Jeudi 11 janvier 2024 Décès de notre soeur Colombe (Léa Horber). Née le 24 mai 1923 à Montlebon (25), elle est entrée à l'Abbaye ND de la Grâce-Dieu le 2 octobre 1942 et y a fait profession le 17 décembre 1944. La messe de sépulture aura lieu le mardi 17 janvier à 11 H. |
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Vendredi 22 décembre 2023 Mère Myriam, abbesse émérite de l'Abbaye de La Coudre (Laval), est venue passer les fêtes de Noël parmi nous. Elle nous parle de la formation qu'elle suit au Centre Sèvres dans le cadre d'un temps sabbatique bienvenu au terme de nombreuses années de services multiples au sein de sa communauté. |
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Dimanche 10 décembre 2023 Nous avons la joie d'accueillir Mgr Etienne Vetö, évêque auxiliaire de Reims. Après nous avoir parlé de sa première assemblée des évêques à Lourdes, il préside l'eucharistie de ce deuxième dimanche de l'Avent, puis partage notre repas communautaire. Prochain rendez-vous le jour de Noël ! |
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Samedi 2 décembre 2023 "Veillons dans le Seigneur" ... Nous entrons en Avent. |